Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Peinture et décoration murales, Montréal (Canada), Stations de métro, Art contemporain
Station Assomption, Montréal : Série de murales disposées dans les couloirs, peintes de couleurs vives et évoquant des mécanismes, plastique laminé, Guy Montpetit, 1976.
Photographie, Afrique, Couleurs, Artisanat d'art, Artistes africains, Ghana, Ghana -- Ethnologie, Art ashanti, Ashanti (peuple d'Afrique), Calebasses, Ashanti (peuple d'Afrique) -- Art, Couleurs -- Dans l'art, Impression en couleurs
Artiste ghanéen imprimant les symboles traditionnels Adinkra à partir de couleurs naturelles extraites d'écorce d'arbre et de tampons en calebasse pour un dessus de lit, dans le village d'artisanat d'art de Ntonso dans la région des Ashanti, au Ghana.
Photographie, Canards, Dix-huitième siècle, Porcelaine, Peinture sur porcelaine, Arts décoratifs, Animaux -- Dans l'art, Faïence de Strasbourg
Canard en porcelaine de Paul Hannong, au Musée des arts décoratifs de Strasbourg. Paul Hannong est le fils aîné de Charles-François Hannong ; il prend la tête de la manufacture de Strasbourg en 1732 et expérimente la polychromie. Ces essais relèvent désormais de l'appellation "technique mixte" : utilisation de la technique de petit feu pour cuire des couleurs de grand feu. La période 1745-1748 marque l'avènement de la véritable cuisson de petit feu avec l'utilisation du pourpre de Cassius. Il est le premier à utiliser la technique de petit feu sur faïence en France. Son désir de produire de la porcelaine comme à Meissen et d'en égaler la qualité du décor va le conduire à mettre sur le marché des faïences décorées de qualité exceptionnelle que l'on retrouve sur les tables princières de toute l'Europe. Il est le premier français qui réussit à produire de la porcelaine dure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fa%C3%AFence_de_Strasbourg
Peinture, Artistes japonais, Fleurs -- Dans l'art, Pivoines, Estampes en couleurs japonaises, École ukiyo-e, Japonais (langue), Canaris, Art (Époque d'Edo) -- Japon (1600-1868), Art edo, Hokusai Katsushika (1760-1849)
Canari et pivoines, 1833, par Hokusai Katsushika (1760-1849) : L'art japonais de l’ukiyo-e "Images du monde flottant ou souffrant" est né dans la ville d'Edo (aujourd'hui Tokyo) durant l'époque de Tokugawa ou d'Edo (1600-1868), une époque relativement paisible durant laquelle les shoguns Tokugawa gouvernaient le Japon et ont fait d'Edo le siège du pouvoir. La tradition d'estampes et de peintures sur bois ukiyo-e s'est poursuivie jusqu'au XXe siècle. Cette estampe, réalisée en 1833 ou 1834, fait partie de la série "Petites fleurs" de Katsushika Hokusai. Sa couleur de fond et sa taille sont inhabituelles. D'autres exemples de cette estampe, que l'on trouve au British Museum et au Musée national de Tokyo, ont un fond bleu intense. Elle est similaire à une estampe de la collection James A. Michener de l'Académie des Arts d’Honolulu et, comme celle-ci, porte des cachets du censeur et de l'artiste.
Photographie, Dix-huitième siècle, Art ottoman, Istanbul (Turquie) -- Palais de Topkapi, Faïence d'Iznik
Carreaux d'Iznik dans la bibliothèque d'Enderûn (Enderûn Kütüphanesi) située derrière la chambre des audiences (Arz Odası) au centre de la 3° Cour du Palais Topkapi d'Istanbul. La céramique d'Iznik comporte plusieurs particularités : sa pâte est siliceuse, mais du plomb y est ajouté afin de baisser la température de cuisson et d'économiser ainsi des matériaux de combustion. De plus, les céramiques sont recouvertes avec un engobe de même composition que la pâte : il s'agit donc du premier engobe siliceux. Le décor est ensuite peint sous glaçure incolore, et la pièce est cuite en une seule fois. Les couleurs utilisées sont tout d'abord le bleu, puis le turquoise, le vert, le rose, le gris, le noir, le pourpre et le brun apparaissent. Mais c'est le rouge tomate, réalisé avec de l'oxyde de fer, qui va faire la réputation des céramiques d'Iznik. Ce rouge d'Iznik apparaît en 1555.
Peinture, Parasols, Peintres français, Autoportraits, Peinture de portraits (17e siècle), Cavaliers -- Dans l'art, Charles Lebrun (1619-1690), Écuyers
Portrait équestre de Pierre Séguier, chancelier de France (1655-1661), par Charles Le Brun (1619–1690) et autoportrait comme écuyer. Musée du Louvre, Sully, 2e étage, Salle 31 : Philippe de Champaigne. Le chancelier sur un cheval, est placé au centre de la composition et est entouré de six écuyers et pages à pied, habillés dans des tons bleu. Le fond est composé d'un ciel sombre. Le chapeau à bordure ronde que porte Séguier est le mortier traditionnel des chanceliers de France. Sa présence est un marqueur de son statut. Le cordon de l'Ordre du Saint-Esprit est peut-être une distinction à laquelle il attachait une importance particulière. La richesse des parures et broderies couleur or sont en lien avec les honneurs faits au cavalier. Les deux parasols sont signes de protection. Ce symbole réfère à la personnalité du chancelier, protecteur des arts. Le Brun s'est représenté sous les traits de l'écuyer qui tient le parasol. Ceci est une marque d'allégeance pour la protection de laquelle il a profité. Le regard qu'il jette vers la gauche du tableau réfère à son passé. En 1642, il part pour Rome avec une pension annuelle de 200 écus données par Séguier, auquel il doit de précieuses lettres de créance. Et de retour en France, en 1646, il obtient une place vacante de valet de chambre du roi, qu'il achète ou obtient de Séguier. Séguier est aussi devenu protecteur de l'Académie après la mort de Mazarin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chancelier_Seguier
Dessins et plans, Géométrie, Bleu, Rouge, Vert, Humour, Lapins, Formes animales dans les arts décoratifs, Formes -- Aspect symbolique, Jeux géométriques
Comment dessiner un lapin avec Inkscape en utilisant trois formes et trois couleurs.
Peinture, Art abstrait, Couleurs -- Dans l'art, Vassily Kandinsky (1866-1944), Couleurs -- Aspect psychologique
Composition n°6 de Kandinsky en 1913. Son premier grand ouvrage théorique sur l’art, intitulé "Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier", paraît fin 1911. Il expose dans ce court traité sa vision personnelle de l’art dont la véritable mission est d’ordre spirituel, ainsi que sa théorie de l’effet psychologique des couleurs sur l’âme humaine et leur sonorité intérieure. "L’Almanach du Cavalier Bleu" est publié peu de temps après. Ces écrits de Kandinsky servent à la fois de défense et de promotion de l’art abstrait, ainsi que de démonstration que toute forme d’art authentique était également capable d’atteindre une certaine profondeur spirituelle. Il pense que la couleur peut être utilisée dans la peinture comme une réalité autonome et indépendante de la description visuelle d’un objet ou d’une autre forme. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vassily_Kandinsky
Icone de dauphin sur fond d'arc-en-ciel, tirant des étoiles (20 petites et 1 grande).
Gravure, Walter Crane (1845-1915), Arts décoratifs, Estampe en couleurs (Ère Meiji) -- Japon (1868-1912), Tutoriels, Dessin -- Étude et enseignement, Bairei Kōno (1844-1895)
Walter Crane, Line and Form, page 69 : Reprise d'un des oiseaux de l'Album de 100 oiseaux par Bairei, datant de l’époque Meiji (1880), et présentant les oiseaux dans leur contexte naturel.
Gravure sur bois représentant deux lapons à ski, à la poursuite des loups, dans la neige, par John Savio (1902–1938).
''.98'' est une oeuvre d'Axel Morgenthaler située à la station de métro Henri-Bourassa de Montréal, réalisée en 2007 : Deux murales constituées de 98 diodes lumineuses à trois couleurs projettent divers motifs.
Photographie, Musique, Clip art, Temps -- Mesure, Solfège, Classification, Musique -- Classification
Dans le solfège, la ronde est une figure de note représentée par un ovale de couleur blanche, dont la position sur la portée indique la hauteur. Elle symbolise une durée égale à deux blanches, quatre noires, huit croches, seize doubles croches, etc. La ronde est l'unité de calcul de la mesure.
Photographie, Géométrie, Montréal (Canada), Stations de métro, Art contemporain, Décorations murales
Cadillac, métro de Montréal : Murales dans les couloirs d'accès à base de formes ovales et de couleurs chaudes et froides. Jean Cartier, 1976, acier émaillé.
Photographie, Chemises, Photographie en gros plan, Tōkyō (Japon), Vincent van Gogh (1853-1890), Design, Designers de mode, Couleur -- Dans l'art, Design et art, Designers textile
Auto-portrait de Van Gogh réalisé en 2000 polos de 24 couleurs relevées sur l'oeuvre originale, présenté à Tokyo au Marubiru building, par Jean-Pierre Causse, designer contemporain.
Clip art, Signalisation routière, Panneaux à message variable, Traitement d'images -- Techniques numériques, Traitement vectoriel
L'informatique utilise le terme de vecteur, à la fois pour des raisons géométriques et algébriques. Le codage d'une image sur un écran d'ordinateur utilise au choix deux techniques : matricielle et vectorielle. La première utilise des éléments graphiques définis point par point. À chaque pixel est associé la quantité de couleurs primaires correspondante. Si cette méthode est économique en termes de puissance de calcul, un agrandissement de la taille de l'image possède pour conséquence un effet d'escalier. Un dessin vectoriel est une représentation composée d'objets géométriques (lignes, points, polygones, courbes…) ayant des attributs de forme, de position, de couleur, etc. À la différence de la technique précédente, il s'agit d'une méthode plus coûteuse en termes de puissance de calcul mais dans laquelle l'effet d'escalier n'existe pas. La représentation des données en informatique, pour les fonctions de mémoire ou de calcul, se fonde sur des tableaux d'octets. Si un octet est identifié à un scalaire, ce qui se conçoit car deux octets s'additionnent et se multiplient, alors un tel tableau s'apparente à une famille de composantes vectorielles. Pour cette raison, un tel tableau est appelé vecteur. Par extension, le terme de vecteur désigne aussi des tableaux dont les composantes sont autre chose que des nombres, par exemple des pointeurs ou des structures informatiques quelconques.
Peinture, Fenêtres, Villes, Art de la lumière, Cubisme, Paysage urbain, Couleurs -- Dans l'art, Robert Delaunay (1885-1941), Abstraction (peinture), Harmonie (esthétique), Simultanéisme (esthétique), Sonia Delaunay (1885-1979), Vassily Kandinsky (1866-1944)
"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay
Photographie, Arts plastiques, Lithographie, Pierres lithographiques, Aloys Senefelder (1771-1834), Munich (Allemagne)
Exemple de lithographie d'une ancienne carte de Munich : la pierre en négatif et le papier en positif. Inventée par Aloys Senefelder (1771-1834) en 1796 en Allemagne, la lithographie (du grec lithos, « pierre » et graphein, « écrire ») est une technique d’impression à plat qui permet la création et la reproduction à de multiples exemplaires d’un tracé exécuté à l’encre ou au crayon sur une pierre calcaire. Après avoir essayé de devenir acteur, il s’essaya à l’écriture dramatique avec un certain succès. Des déboires avec plusieurs éditeurs le persuadèrent d'imprimer lui-même ses textes, mais il ne disposait pas des fonds nécessaires à l'achat d'une presse, de caractères et de papier. Senefelder chercha un procédé moins coûteux qui lui permettrait d'imprimer ses œuvres sans avoir recours aux techniques traditionnelles de l'imprimerie. Il expérimenta différents procédés, découvrant ainsi la stéréographie. Après une longue période d'essais et d'erreurs, il eut l'idée d'utiliser la pierre qui lui servait à préparer ses couleurs au lieu des plaques de cuivre et de zinc qui ne lui avaient donné que des résultats médiocres. Cependant le procédé qui consiste à remplacer la plaque de métal par une plaque de pierre n'avait en soi rien de nouveau puisque Senefelder reconnaît avoir vu des plaques d'ardoises dans la boutique d'un imprimeur. La véritable découverte de Senefelder relève de la chimie. Ayant un jour, faute d'encre et de papier, utilisé une pierre pour y écrire une liste en se servant du mélange de cire, de suif, de noir de fumée et d'eau dont il se servait pour ses plaques de métal, il eut l'idée de plonger la pierre dans un bain fait d'une mesure d'eau-forte pour dix mesures d'eau. Au bout de cinq minutes, les parties écrites étaient restées intactes et faisaient maintenant saillie de l'épaisseur d'une carte à jouer. Les ayant encrées de façon satisfaisante au bout d'un certain nombre d'essais et d'erreurs, il réalisa un tirage dont la qualité le persuada de continuer à développer ce procédé.
Photographie, Jeux d'extérieur, Pavés en pierre, Amsterdam (Pays-Bas), Numération, Arts décoratifs, Marelles, Jeux de plein air, Dix (le nombre), Marelle à cloche pied, Jeu mathématiques
Marelle à dix cases en couleurs, à Amsterdam, dans la rue pavée "Nieuwezijds Voorburgwal" recouvrant l'ancien canal séparant la vieille ville de la nouvelle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nieuwezijds_Voorburgwal
Miniature persane Gaudi Ragini (Jaipur en Inde vers 1700-1725). Le râga ou râgam en tamoul signifiant attirance, couleur, teinte ou passion — est un cadre mélodique (à ne pas confondre avec les notions de gamme ou de mode, même s'il y a une certaine affinité avec celles-ci) utilisé dans la musique classique indienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A2ga
Relief, négatif positif de Yves Trudeau dans la station Côte-Vertu du Métro de Montréal : Des plaques d'acier inoxydable sont disposées sur le mur de la passerelle. Les plis et les différents finis créent des jeux de lumières et de couleurs. Yves Trudeau, 1986.
Peinture, Géométrie, Couleurs, Cercles, Formes -- Aspect symbolique, Art abstrait, Robert Delaunay (1885-1941), Orphisme (art), Piet Mondrian (1872-1944), Rythme (art)
Vers 1930 se produit un revirement assez difficile à expliquer, qui pousse Delaunay à revenir à l'orphisme, en commençant une série intitulée Rythmes, qui reprend les formes circulaires produites dans les années 1910, de manière nouvelle et plus mature, en s'inspirant notamment du travail de Piet Mondrian, et des artistes regroupés sous le nom d'abstraction-géométrique (dont la plupart reconnaissaient une dette artistique à son égard). Il y montre sa maîtrise dans l'agencement des couleurs, et atteint son but recherché dans les premières année orphiques : l'harmonie picturale. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay
Photographie, Sculpture en marbre, Rome, Marbre, Taureau (astrologie), Astronomes, Signes du zodiaque, Animaux -- Dans l'art, Art italien, Basiliques -- Italie, Francesco Bianchini (1662-1729)
Signe zodiacal du Taureau (astrologie) sur panneau de marbre blanc incrusté de marbres de couleur (opus sectile) ornant un côté de la Méridienne de la Basilique Sainte-Marie-des-Anges-et-des-Martyrs à Rome construite par Francesco Bianchini (1702).
Peinture, Neige, Uniformes militaires, Guerre mondiale (1914-1918), Peintres suisses, Soldats, Post-impressionnisme (art), Beauvais (Oise) -- Musée départemental, Félix Vallotton (1865-1925), Soldats -- Recrutement, Soldats appartenant à des minorités, Tirailleurs sénégalais
Soldats sénégalais au camp de Mailly, 1917, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français. Musée départemental de l'Oise (Beauvais). Les tirailleurs sénégalais sont un corps de militaires appartenant à l'Armée coloniale constitué au sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la "Force noire" et dissous au début des années 1960. Bien que le recrutement de tirailleurs ne se soit pas limité au Sénégal, c'est dans ce pays que s'est formé en 1857 le premier régiment de tirailleurs africains, ces unités d'infanterie désignant rapidement l'ensemble des soldats africains de couleur noire qui se battent sous le drapeau français et qui se différencient ainsi des unités d'Afrique du Nord, tels les tirailleurs algériens. En 1914-1918, ce sont environ 200 000 "Sénégalais" de l'AOF qui se battent dans les rangs français, dont plus de 135 000 en Europe. Environ 15 % d'entre deux, soit 30 000 soldats, y ont trouvé la mort (sur un total de 1 397 800 soldats français morts durant le conflit soit plus de 2% des pertes totales de l'armée française) et nombreux sont revenus blessés ou invalides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tirailleurs_s%C3%A9n%C3%A9galais
Photographie, Couleurs, Fours, Art nouveau, Usines, Aciéries, Fours métallurgiques, Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Photographie des vitraux de style Art Déco (1928) retraçant les métiers de la sidérurgie dans les années 20. Dessinés par Louis Majorelle.
Peinture, Caricatures et dessins humoristiques, Fantômes, Réalisme dans l'art, Maruyama Okyo (1733-1795), Arts décoratifs (Ère Meiji) -- Japon (1868-1912), Estampes en couleurs japonaises (Ère Meiji) (1868-1912), Tsukioka Yoshitoshi (1839–1892)
Le fantôme peint par Maruyama Okyo prend vie et le terrorise, par Tsukioka Yoshitoshi (1839–1892), "Yoshitoshi ryakuga", 1882 (ère Meiji) : caricature du réalisme.